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HISTOIRE
VRAIE
Voici ce qui s'est passé le mardi, 2007oc30, dans le stationnement de l'école secondaire de Neufchatel. J'avais demandé à celle qui m'a appelé où je pouvais me stationner et elle m'a dit en avant de l'école, sinon, faute de place, en arrière. Je rentre dans le stationnement à 9h10, l'heure pile, à laquelle les cours débutent ; je vois une place libre, ±la plus loin de la porte d'entrée ; je m'y recule et court jusqu'au secrétariat ; c'est ma première suppléance dans cette école ; je cours au bureau de l'enseignante que je remplace, ramasse les documents pour le cours, et un enseignant m'accompagne gentiment jusqu'au groupe : les activités se déroulent bien ; les élèves collaborent et travaillent fort ; la cloche sonne ; je retourne porter les travaux accomplis dans une enveloppe au bureau de la profe, retourne voir la Caller de suppléants, lui remet la clef, discute brièvement et retourne à mon véhicule Communauto, loué à la ½ heure, pour 2 heures ; j'aperçois alors la situation illustrée dans l'im@ge à gauche, en 4 tableaux. L'auto A semble me bloquer le chemin ; néanmoins je vois que je peux passer, quoique serré, entre les véhicules A et B , si je wiggle rabbit mon véhicule vers la gauche, puis, entre les deux autos. |
Je
commence la manoeuvre et une enseignante arrive à pied, de ma
gauche
arrière, en gesticulant et en hurlant. Je lui explique ce que je
m'apprête à faire, mais, elle me crie d'arrêter,
d'aller au
secrétariat, que ça ne passe pas !
Je continue malgré tout mes manoeuvres ; après m'être tassé vers la gauche, j'ai visé entre les deux véhicules et les ai approché tout doucement ; je sors de mon auto et vais évaluer visuellement la situation ; l'enseignante hurle ; je lui explique que je suis désolé de m'être stationné à la place de quelqu'un, que c'était ma toute première suppléance à cette école et que je vais le savoir la prochaine fois. Madame
l'enseignante, quel que soit votre nom, au lieu de prendre mon
numéro de plaque, en émoi, j'estime
que vous auriez dû poliment m'aider à vérifier
visuellement si mon véhicule passait, ce qui m'aurait
éviter de devoir sortir trois fois pour être sûr de
ne rien accrocher, ce qui, bien sûr, fut le cas : mon dernier
emploi, madame, en était un de chauffeur livreur dans une
pâtisserie fine et, soit dit en passant, jamais, oh, grand
jamais, quiconque des 40 employés ou patrons auraient osé
parler à quiconque, dans l'équipe ou non, de la
façon que vous m'avez parlé, madame !
Je n'imaginais pas un comité d'accueil. pour me souhaiter la bienvenue pour ma première suppléance à cette école, avec une banderolle et une chorale, mais je saurai où me stationner la prochaine fois :-) |